L'Américain Bob Shacochis signe un roman total. […] Que pèse un livre ? 800 pages ? 1,2 kg de papier ? Le cumul de ses ventes ? Plus probablement son legs d'émotions. Quelle qu'en soit la mesure subjective, profonde est la conviction que La Femme qui avait perdu son âme formera un bloc au cœur et dans la mémoire. Par la sophistication de son architecture, par son ambition totalisante, par son réseau de personnages, agents de la CIA, membres des Forces spéciales, et son inoubliable, quasi irréelle, héroïne.
Macha Séry, Le Monde des livres
[C'] est un livre complexe, obscur, fascinant, inépuisable. Bob Shacochis confirme qu'il est aujourd'hui le plus grand romancier américain vivant.
Christophe Mercier, Le Figaro littÉraire
[Un livre] monumental et passionnant dont le souffle, l’ambition et la densité souffrent difficilement le compagnonnage avec les autres romans de cette rentrée de janvier. Pour qui voudrait comprendre pourquoi l’Amérique se croit sans cesse obligée de se mêler de ce qui ne la regarde pas, pour qui sait que tout bon thriller est aussi un drame shakespearien (et une histoire d’amour), alors, Shacochis sera votre homme.
Olivier Mony, Le Figaro Magazine
Bernard Poirette, RTL, C'est À lire
Fresque aux accents shakespeariens, mêlant le thriller au métaphysique, l'humain au géopolitique, La Femme qui avait perdu son âme est le grand roman de l'Amérique post-11 septembre.
Yann Perreau, Les Inrockuptibles
Derrière cette aventure romanesque palpitante, sordide, torride, violente, humaine et inhumaine se dessine un portrait sans concession d’une Amérique dont chaque action a des retentissements dans le reste du monde.
Emmanuel Romer, La Croix
[Un] impressionnant thriller politique [qui] n'épargne rien ni personne [et] donne corps aux convulsions de l'Histoire.
Émilien Bernard, Le Canard enchaÎnÉ
Il faut plus que de l'endurance, disons une absolue confiance, non pas tant en soi-même, mais en la puissance du genre romanesque, pour mener son entreprise comme le fait Bob Shacochis. Refusant de choisir entre roman sentimental, thriller à la John Le Carré et tragédie contemporaine. Renversant la chronologie, saturant son récit d'informations historiques et géopolitiques, semant le trouble sur l'identité des personnages, arrêtant parfois l'histoire le temps de réfléchir ou de méditer. Irriguant sa narration d'interrogations corrosives sur les relations entre religion et politique, foi et sentiment patriotique. Ce formidable roman, sentimental et politique, embrasse la seconde moitié d'un XXe siècle meurtri par la violence. Le retour d'un grand auteur américain.
Nathalie Crom, TÉlÉrama
Mathieu Lindon, LIbÉration
Ce n'est pas seulement un roman. C'est une boule à facettes qui multiplie les focales en même temps qu'elle en approfondit.
Hubert Artus, Lire
On se damnerait pour La Femme qui avait perdu son âme.
Olivia Mauriac, Figaro Madame
Ce récit de 800 pages – que Shacochis a mis dix ans à écrire – confirme que les lettres américaines ont trouvé leur Joseph Conrad.
Yves Viollier, La vie
Un thriller géopolitique mû par un souffle digne de Graham Greene.
Nathalie Six, Avantages
Vous lirez 100 pages à l'heure !
Annabelle Laurent, 20 minutes
Christine Salles, Psychologies
Un tour de génie oscillant entre roman d'amour, d'espionnage et thriller.
Éliane Gérard, Prima
Ce magnifique portrait de femme, précisément celui d’une fille qui a trop aimé son père, est aussi celui en creux, jusque dans les replis de sa bonne conscience, de l’Amérique.
François Montpezat, DNA
[Une] éblouissante et colossale machinerie romanesque.
Olivier Mony, Sud Ouest
Un grand thriller passionnant. C'est formidable.
Hervé Bertho, Ouest France
On a toutes les raisons de s’intéresser à un écrivain capable de donner un roman comme celui-ci, qui résonne de toutes les contradictions dans lesquelles nous vivons. Il nous emporte, en puisant à plusieurs registres, du thriller à la romance, à travers quelques grandes énigmes de l’humanité.
Pierre Maury, Le Soir
C'est épique, dense, addictif. C'est incontournable dans les lettres américaines contemporaines.
Geneviève Simon, La libre belgique
Il y a d'innombrables personnages dans ce roman, de la folie, mais il y a aussi des idées étranges, cette héroïne qu'on aimerait sauver, et partout au fil des pages, une hallucinante virtuosité.
Anaïs Orieul, Terrafemina.com
Il est des livres qui restent à jamais dans notre mémoire de lecteur, celui-ci en fait absolument partie par sa faculté à nous surprendre par son incroyable construction, son propos ambitieux et sa puissance romanesque qui en font un des fleurons de la littérature américaine.
Michel Monsay, L'information agricole