Une prose très poétique, des histoires burlesques et plein de faits journalistiques raccrochés à son roman, avec une prose dont je suis tombé amoureux, c’est formidable, c’est parfaitement traduit. C’est le roman de la révolution sexuelle, c’est le roman de l’intelligence, de l’originalité, et qu’est-ce-que c’est bien écrit, ça fait du bien.
Gorian Delpature, La Première
Une source inépuisable d'enchantements et de fous rires.
PSYCHOLOGIES
Tarte aux pêches tibétaine, le fruit le plus savoureux de Tom Robbins.
Christophe Mercier, LE FIGARO LITTÉRAIRE
Ce livre est une chevauchée alternant souplesse et furie : on y passe de la guerre de Corée aux copains de la Beat Generation, de la contre-culture à l'édition américaine en passant par plusieurs femmes aimées. À chaque fois Robbins revendique la gaieté, la liberté, I'imagination libératrice. La jeunesse de son esprit éclate à chaque page.
Hubert Artus, LIRE
En ces pages où Robbins a l'élégance de ne jamais se départir de son goût du bonheur, il paye sa dette à tout ce qui l'a formé, les voyages à travers le monde, la Californie des hippies et, plus inattendus, les films de François Truffaut. C'est une vie vécue comme un merveilleux brouillon, une vie où l'imagination et le réel se tirent joliment la bourre.
Olivier Mony, LIVRE HEBDO
Tom Robbins est facétieux, anticonformiste et heureux de l'être.
Virginie Bloch-Lainé, LIBÉRATION
Un cocktail explosif à travers la guerre de Corée, la Beat Generation, ses études de journalisme et les innombrables femmes de sa vie.
Leonard Debrieres, KONBINI
Le feel-good book psychédélique, zen et underground de l'été.
Philippe Blanchet, ROLLING STONE
Un formidable livre sur le cirque, le LSD, l'Amérique, Tombouctou, les femmes cinglées, la guerre de Corée, l'art situationniste...
L'ALSACE
Fleuron déjanté de la contre-culture yankee, le très irrévérent
Tom Robbins délaisse ses fantasmagories habituelles pour nous raconter sa vie. Il attaque la littérature le couteau entre les dents - le genre de type à écrire « Juin s'amusait à fouetter Manhattan avec une limande morte » pour expliquer qu'il fait chaud. De Tokyo à Tombouctou, de Hollywood à New York, il vivra mille vies, assailli par des hippopotames, des agents du FBI persuadés qu'il est Unabomber ou des groupies australiennes en délire («j'avais l'impression d'être tous les Beatles »). Des événements « absolument authentiques », insiste-t-il. Le pire - le mieux -, c'est qu'on le croit !
Fabrice Colin, LE CANARD ENCHAÎNÉ
L'Amérique du XXe siècle blasonnée par un fils indocile. Un régal !
Gérard Oberlé, LIRE
Tom Robbins est aussi extravagant, bavard, drôle et aventureux que ses héros.
Agnès Leglise, ROCK AND FOLK
À la manière des confessions d'un vieux pote, le récit charme, arrache avec une régularité métronomique éclats de rire ou soupirs.
Cécile Lecoultre, 24 HEURES
Fil rouge de ce récit, qui ne s'interdit aucune digression : comment l'enfant d'une bourgade de Caroline du Nord, élevé pendant la Dépression dans un milieu assez strictement baptiste, transplanté en Virginie dans le Sud le plus ségrégationniste, passé par une académie militaire aux tendances fascistoïdes et par la guerre de Corée, devint l'auteur le plus cool, zen, émoustillant qui soit, l'avocat des champignons hallucinogènes et du LSD, l'homme qu'Allen Ginsberg embrasse sur la bouche, un patient qui va chez le proctologue avec un masque de canard sur la tête. Bref, un esprit libre.
François Montpezat, DERNIERES NOUVELLES D'ALSACE
Irrévérencieux, joyeusement incorrect, le récit de cette existence qui n'est guidée que par le souci d'en jouir nous donne une leçon de légèreté et d'insouciance. Jubilatoire.
FEMME ACTUELLE SENIOR
Robbins cultive toujours son style pétaradant, sa marque de fabrique, avec un don surnaturel pour les métaphores.
Bernard Quiriny, L'OPINION
Tom Robbins continue d’incarner le cool Zen et le charme bohême.
BOOKLIST
Tarte aux pêches tibétaine est le cadeau d’un romancier-philosophe qui continue de croire aux qualités salvatrices de la nouveauté, de la beauté, de l’espièglerie et de la joie - qualités apparentes sur chaque page de ce livre enthousiaste et au grand cœur.
THE WASHINGTON POST