Le roman a des allures de manifeste rigolard, prône la désobéissance civile avec une grâce extrême, constitue un valable mode d’emploi pour se débarrasser des machines inutiles. Il bout d’une saine colère, est traversé d’un lyrisme indémodable [...]. La préface de Robert Redford est un modèle du genre.
Éric Neuhoff, LE FIGARO LITTÉRAIRE
C'est de la dynamite de papier à l'état pur.
LA GRANDE LIBRAIRIE
Ici, cerise sur le gâteau, au style alerte d’Edward Abbey répond le talent d’un dessinateur culte de la mouvance hippie, Robert Crumb, auteur des illustrations. Le tout accouche d’un chef-d’oeuvre subversif et tellement réjouissant !
Anne Lessard, LE TÉLÉGRAMME
Véritable icône de la culture underground et défricheur de la défense de l’environnement, l’américain Edward Abbey (1927-1989) est avant tout un écologiste convaincu, dans la lignée d’un Thoreau, et il signe ici un formidable roman à la gloire des activistes pro-décroissance.
Jean-Paul Guéry, LE COURRIER DE L'OUEST
Ça vaut vraiment le coup, c’est un très grand roman (et je ne dis pas ça tous les jours).
Christophe Laurent, FRANCE BLEU RCFM
[...] À lire en écoutant quelques vieux titres de Neil Young ou en faisant brailler "Sabotage" des Beastie Boys !
Philippe Blanchet, ROLLING STONE
Un “road-story” écologiste. Edward Abbey s’est imposé comme une référence pour de très nombreux auteurs américains, dont Annie Dillard, Rick Bass ou les écrivains du Montana. Un des pionniers d’une prise de conscience écologique aux États-Unis.
Gérard Meudal, LE MONDE DES LIVRES
De la bombe. Dans Le Gang de la clef à molette, formidable grenade dégoupillée lancée à la figure du gouvernement américain, Abbey raconte l’odyssée hilarante de quatre durs à cuire qui inventent un nouveau concept : le terrorisme citoyen. Un pur délice.
Didier Jacob, LE NOUVEL OBSERVATEUR
Un hilarant road-movie d’Edward Abbey, l’auteur culte de Désert solitaire. Dans ce Délivrance qui finirait bien, on oscille en permanence entre Thoreau et Hunter S. Thompson. Un ouvrage à couper le souffle ! Preuve que Nature Writing ne rime pas forcément avec boring...
Jérôme Dupuis, LIRE
Comment avons-nous pu passer à côté de ce classique de la contre-culture américaine ? Un livre drôle et méchant comme au premier jour, flambant neuf, avec cette revigorante légèreté iconoclaste typique des seventies, qui conte les aventures "épastrouillantes" de quatre zigotos embringués dans une entreprise terroriste des plus réjouissantes...
Jean-Luc Porquet, LE CANARD ENCHAÎNÉ
Un chef-d'œuvre anticapitaliste, en forme de plongée dans l'univers d'Easy Rider, qui devint le roman culte des hippies. […] une farce freaky où la rage se marie au rire.
Bruno Juffin, LES INROCKUPTIBLES
Oublié des histoires de la littérature américaine de langue française, Edward Abbey est un écrivain original, un authentique anarchiste, qui expulse sa prose comme un paysan ses jets de salive.
Alfred Eibel, VALEURS ACTUELLES
On a tous les ingrédients qui font un très bon roman policier plein d'humour et en même temps une sorte de manifeste écolo.
FRANCE INFO
Un hymne à la désobéissance civile. Un livre subversif et tragi-comique qui n’est pas sans évoquer le combat de José Bové contre les OGM…
Guillaume Chérel, LE POINT
Roman épique, subversif et drôle, ce polar écologique paru il y a trente ans est un hymne à la terre et à la désobéissance civile tout à fait d’actualité.
Anne-Marie Koenig, GÉO
Un jubilatoire roman culte d’Edward Abbey qui prône l’écosabotage et l’insoumission à la loi.
Tâm Van Thi, LE MAGAZINE LITTÉRAIRE
Attention chef d’oeuvre !
LA TÊTE EN NOIR
Edward Abbey aimait le désert et l'Ouest américain plus que tout. Pionnier de l'écologie radicale, il a passé sa vie à combattre les saccageurs de la nature. À l'image des quatre protagonistes de son mythique roman Le Gang de la clef à molette (que Gallmeister vient de rééditer), adeptes de la méthode forte. Boum.
Émilien Bernard, Article 11
Attention, chef-d'œuvre doublement méconnu !
Maxence Grugier, PREMIERE.FR
Abbey nous fait partager les bonheurs fugaces de ses héros, branquignols attachants engagés dans un combat perdu d’avance. C’est beau, drôle, pathétique. À sa mort, Abbey demanda à être enterré dans le désert. Nul ne sait où se trouve sa tombe. Réjouissons-nous : ses écrits sont encore bien vivants.
Matthieu Durand, LCI.FR
À lire pour s’imaginer parcourir ces paysages sauvages et ces canyons millénaires.
Didier Lavie, L'ÉCHO DES COLLINES
Ce livre très écologique est en même temps drôle et empreint d’une verve tragicomique. Il se lit avec un grand plaisir.
LE DAUPHINÉ LIBÉRÉ
Une formidable épopée écologique. Un roman incitatif et haletant. […] Edward Abbey évolue quelque part entre Thoreau et Kerouac. Quoi qu’il en soit, ce roman est délicieux : vif, haletant, volontiers gouailleur, il se dévore comme un bon polar qui céderait çà et là à de beaux élans poétiques. Quand on célèbre à ce point la nature, se montrer poète, c’est la moindre des choses.
Didier Garcia, LE MATRICULE DES ANGES
De la littérature. Et quelle littérature ! Un bâton de dynamite. Chaque phrase est une explosion, une invitation à l’action, de la poésie brute.
Jérôme Yager, L’INDÉPENDANT
Illustré par Robert Crumb, ce texte, dont le message prend aujourd'hui un bel écho, réjouira tous les nouveaux lecteurs.
COUNTRY MUSIC MAG
Formidables aventures, plus que jamais d’actualité, décrites par la plume très alerte et politiquement très incorrecte d’Edward Abbey. Il n’y a aucune raison de s’en priver.
Bernard Poirette, RTL