Dans ce second roman traduit en français, très maîtrisé, l'écrivain renouvelle la démonstration de son immense talent. Sans acrobatie, continuant la mélodie de Sukkwan Island, sa musique sobre. Sa pulsation lente et primitive. La beauté éclatante de l'Alaska, le bain de son soleil froid, est comme une drogue.
Nils C. Ahl, LE MONDE DES LIVRES
David Vann explore les âmes avec une rare cruauté et un talent qui nous laisse sans voix.
Bruno Corty, LE FIGARO LITTÉRAIRE
Un roman magistral dans lequel l'écrivain montre définitivement la singularité de son style.
Nicolas Ungemuth, LE FIGARO MAGAZINE
Ce nouveau roman est, encore une fois, le récit au millimètre d'une tragédie glaçante.
Michel Abescat, TÉLÉRAMA
Frédéric Roussel, LIBÉRATION
David Vann récidive avec force, sonde l'impitoyable univers familial, suit les dérives d'un couple à bout de souffle, et s'arrime dans une littérature du grand dehors, sauvage et pure, tragique et magnifique, à l'image de l'Alaska, ce pays qui lui coule dans les veines, le hante, le nourrit.
Martine Laval, LE MATRICULE DES ANGES
Ça finit on ne peut pas plus mal, et c'est tellement bien.
Didier Jacob, LE NOUVEL OBSERVATEUR
Économe et efficace, le suspense constant.
Jérôme Dupuis, L'EXPRESS
Sorcier, magicien ou simplement surdoué, David Vann est un immense romancier.
Marine de Tilly, LE POINT
Un romancier vibrant dont l'œuvre ne fait que commencer.
Alexandre Fillon, LE JDD
Le livre gagne en poésie au fur et à mesure que les tourments des couples et leur folie entrent en résonance avec la grandeur des décors, la folie des éléments (le vent, surtout, incessant) et la perdition d'être venu vivre là.
Hubert Artus, LE MAGAZINE LITTÉRAIRE
David Vann a cette capacité à vous saisir, à vous entraîner dans ces paysages désolés, ces drames de l'identité humaine.
Jacques Sterchi, RSR
La folie s'empare de ces deux êtres, jusqu'au final digne d'une tragédie.
Philippe Chevillez, LES ÉCHOS
David Vann traite avec une puissance voisine de celle d'une Annie Proulx de la solitude, de la violence, des relations destructrices.
Minh Tran Huy, LA TRIBUNE
Si vous n'adorez pas Désolations de David Vann, rallumez votre télé !
Olivia de Lamberterie, ELLE
Une écriture d'une force tellurique.
Bernard Babkine, MARIE-FRANCE
Une bonne leçon de littérature.
Marc Villemain, LE MAGAZINE DES LIVRES
Incroyablement magnétique et prenant.
Karine Papillaud, 20 MINUTES
Véronique Rossignol, LIVRES HEBDO
Du David Vann sans trahison : enivrante maîtrise des points de vue internes, crudité contemplative plutôt que voyeuriste, sentiments bouillonnants tapis sous un calme olympien — et, par définition, tragédie programmée.
François Perrin, STANDARD
David Vann a le pouvoir d'écrire des romans que l'on n'ose pas refermer de peur de laisser les héros coincés dedans.
Claire Castillon, L'ÉCHO
Jusqu'à la fin, forcément terrible, ce sont les rêves qui s'envolent sous la plume de David Vann.
Marie de Cazanove, LA CROIX
De la très bonne littérature.
AVANTAGES
Splendide, glacial, redoutable, sans pitié.
Colette Hermann, SCHUSS
Le talent de David Vann est de creuser au scalpel les failles béantes de ces êtres voués à l'isolement et à d'inéluctables tragédies. Car aussi loin qu'on parte, on est toujours et d'abord rattrapé par soi-même.
François Montpezat, DNA
Un récit fulgurant, rêche et oppressant.
Marc Bertin, SUD OUEST
Le récit est mené comme un thriller, tout en suspense et en angoisse.
Françoise Monet, LE PROGRÈS
Un roman puissant sur l'amour et la solitude, porté par une écriture magnifique, l'épaisseur des personnages, la beauté sauvage et oppressante des rives de l'Alaska.
Corinne Abjean, LE TÉLÉGRAMME
Un livre envoûtant aussi destructeur qu'un blizzard.
Florence Dalmas, LE DAUPHINÉ LIBÉRÉ
Si on frissonne à la lecture de Désolations, ce n'est pas de froid. C'est de plaisir à un talent éclatant.
Frédérique Bréhaut, LE MAINE LIBRE
Difficile d'en interrompre la lecture, malgré sa noirceur.
Laurent Van Oye, 50+LIFESTYLE
La violence diffuse, presque primitive, qui suintait de Sukkwan Island, est ici plus feutrée, et tempérée par des bouffées d'oxygène distillées par la galerie de personnages secondaires gravitant autour de l'épicentre du séisme.
Laurent Raphaël, FOCUS VIF
Un livre qui coule sans heurt comme une rivière polaire, si transparente qu'on voit, sous la surface, s'agiter les hommes soumis à leur destin. Un roman difficile à lâcher, même si le lecteur est certain qu'il va connaître le pire.
Pascale Zimmermann, LA TRIBUNE DE GENÈVE
Désolations possède une épaisseur, un instinct de survie et une rage de vie qui lui donnent une dynamique tout autre.
Isabelle Falconnier, L'HEBDO-PAYOT
Comme la musique soutenue de son style austère, dérangeant sans provocation, implacable : il emporte tout sur son passage y compris les réticences du lecteur vacillant devant le miroir que l'auteur lui tend avec une lucidité confondante.
Thibaut Kaeser, L'ÉCHO MAGAZINE
Dès le premier chapitre dont on ressort lessivé par une effrayante tempête, on comprend que cette lecture ne sera pas de tout repos.
Jean-Blaise Besençon, L'ILLUSTRÉ
Désolations déploie sa singularité dans les relations tumultueuses et destructrices, habilement orchestrées, qui se nouent entre les êtres. Entre frêle espoir et tenaces désillusions, vérité et mensonge, choix et contraintes, il leur faut affronter la vie dans cet Alaska mythique, figure d’un dernier recours pour les égarés.
Geneviève Simon, LA LIBRE BELGIQUE
David Vann possède l'art de sonder les cœurs et les esprits jusqu'à y mettre en évidence les sentiments les moins avouables, ceux que les personnages ne s'avouent pas à eux-mêmes.
Pierre Maury, LE SOIR
Tout ce qui a fait de Sukkwan Island un ouvrage si puissant et si justement encensé se trouve ici plus dense et profond... Portraits de vies déçues et de rêves brisés, Désolations est plus intense encore que le dernier ouvrage de Jonathan Franzen qui, en comparaison, ressemble à un soap opera.
THE TIMES (LONDRES)
Désolations explore des territoires qu’aucun autre roman ne parvient à effleurer. Avec l’exactitude magnifique de sa prose, son regard infaillible pour le détail, David Vann nous transporte en un endroit plus profond, plus originel, bien plus éblouissant de vérité que le monde éclairé par le soleil.
THE NEW YORK TIMES BOOK REVIEW
Bouleversant, puissant... Poser ce livre pourrait vous épargner, mais il vous sera impossible d’en arrêter la lecture, tout comme il vous sera impossible d’en refuser la vérité.
LOS ANGELES TIMES