C’est sur 432 pages, un déchaînement de violence et de cruauté. Un film gore planté dans un western. Les rares personnages ayant une substance morale l’abandonnent plus ou moins rapidement et se laissent dévorer par la haine. Rien n’est drôle, mais alors RIEN DU TOUT n’est drôle dans ce roman qui finit toutefois par être comique, tellement il est excessif dans la violence.
Nicolas Demorand, FRANCE INTER / Le 7/9