Whitmer est un auteur sans concession dans son propos, qui illustre à la perfection le roman noir (avec lui, même les flocons de neige sont gris). Il dénonce la violence inhérente à une certaine catégorie de population américaine retranchée derrière des valeurs puritaines et traditionalistes.
L'EST REPUBLICAIN
François Busnel, LA GRANDE LIBRAIRIE
Les récits de Whitmer forment des jonchées de cadavres où se mêlent causticité amère et art de la formule.
Macha Séry, LE MONDE DES LIVRES
Philippe Blanchet, LE FIGARO LITTÉRAIRE
Benjamin Whitmer est un orfèvre du noir.
Clara Dupont-Monod, FRANCE INTER - PAR JUPITER !
Évasion est une espèce de conte de Noël, macabre et païen, déplacé à la nuit de la Saint- Sylvestre.
Laurent Chalumeau, FRANCE INTER - POPOPOP
Ces personnages nourissent ton empathie de lecteur dans cette course ralentie par les éléments naturels. À cela, l’auteur donne de la poésie, de minuscules richesses, de l’intime, et de l’humour aussi. Oui oui, tu ris parfois. Tu t’étrangles juste derrière. C’est le tarif de l’évasion.
Juliette Arnaud, FRANCE INTER - PAR JUPITER !
Lire Évasion donne parfois l'impression de rouler à tombeau ouvert sur une highway gelée dans une Ford déglinguée sur fond de death metal à plein volume.
Jérôme Dupuis, L'EXPRESS
Le style de l'auteur de Pike est bon, très bon. À condition d'avoir un penchant pour les bêtes de foire et l'évocation de la misère.
Julie Malaure, LE POINT
La langue somptueuse et enragée, rappelant que la poésie la plus éblouissante et l’émotion la plus nue peuvent jaillir d’une orgie de drogue, de sexe tarifé et de violence extrême.
LES INROCKUPTIBLES
Loup Besmond de Senneville, LA CROIX
Évasion est un road-movie à l'arrêt, une pure et superbe tromperie.
Alain Léauthier, MARIANNE
De sa plume puissante, Benjamin Whitmer passe la condition humaine a l'acide, entre amour fou et haines viscérales.
LIVRES HEBDO
Une ville entière va verser son sang au gré d'une traque aussi violente que palpitante digne de la grande littérature américaine. Un roman magistral d'amour et de haine.
Élise Lépine, GQ
La langue brute et taillée à la serpe de Benjamin Whitmer sert un récit suffoqué où, dans la nuit glacée du Colorado, chacun des personnages, qu'il soit bon ou mauvais, se retrouve face à ses cauchemars. Car chez l'auteur, le désespoir étouffe tout le reste et le lecteur, pris à la gorge, n'a pas d'autre choix que de le suivre dans la narration de cette descente aux enfers.
Lou-Ève Popper, LIRE
Muriel Gaudin, FEMME ACTUELLE
Dans ce récit étincelant de noirceur, Benjamin Whitmer dépeint une humanité aussi sauvage que la nature environnante. Ne passez pas à côté de ce roman aussi carabiné qu'un film des frères Coen.
PARIS MATCH
Évasion, de Benjamin Whitmer est une réussite totale. Des personnages magnifiques, à la marge de tout et vrillés comme des derviches. Capables de générosité comme de bestialité absolue. Des bons rednecks au front bas et à la gâchette facile. Ils sont infréquentables. Je les adore.
Bernard Poirette, EUROPE 1
C’est hyper rythmé, c’est haletant, c’est très bien construit, on ne s’ennuie pas une minute. Whitmer nous signe un des grands polars de cette rentrée.
Guillaume Vittu, FRANCE INFO
C'est du country noir, pas de la lecture pour les flemmards, ça bute, ça bastonne et c'est pour ça que ça cartonne. Il n'y a plus qu'une chose à faire, c'est dévorer cet Évasion.
Michel Dufranne, RTBF
Un livre noir de chez noir. Pas de gras, pas de surperflu, le language est quelquefois brutal.
Caroline Leddet, rcf
Brutal, viscéral, Whitmer fouille les entrailles d'une humanité sans espoir. Dans tout ce mal, d'une plume tendue criblée d'un humour perçant, Whitmer sauve ce qu'il reste à sauver : l'indomptable mélancolie des marges.
Le Un
L’écriture au couteau racle la phrase jusqu’à l’os.
OUEST FRANCE
Chasse à l'homme où l'on renoue avec les bons vieux romans noirs américains.
FEMMES ACTUELLES
Une efficacité redoutable et un sens de la formule qui fait mouche à tous les coups.
LE SOIR
Évasion est un roman noir terrifiant qui donne une cinglante leçon de vie en territoire hostile, là où l'humanité ne répond plus.
Thierry Boillot, L'ALSACE
Infernal huis clos. Avec ce troisième roman, Benjamin Whitmer s'affirme comme un maître du roman noir.
Anne Lessard, LE TÉLÉGRAMME
Préfacé par Pierre Lemaitre, auteur de magistraux romans noirs. C'est dire si Whitmer est hautement recommandable.
François Monnet, LE PROGRÈS
Le terme de roman noir semble avoir été inventé pour Whitmer dont l’univers sans concession fouille la sauvagerie de la nature humaine. Avec ce roman choral, il réussit un double exploit : donner autant d’épaisseur aux personnages secondaires qu’aux chefs de file - poursuivis ou poursuivants - et traduire l’enfermement au- delà des murs d’une prison. Simplement magistral.
LE COURRIER DE L'OUEST
Dans l'esprit de Jim Harrison, l'Américain Benjamin Whitmer dessine les grands espaces et les petits hommes avec brio. Horriblement délicieux.
Karin Cherloneix, OUEST FRANCE
Un fleuron du roman noir.
LE JOURNAL DE MONTRÉAL
Depuis quand n’avait-on pas respiré une si bonne odeur de polar grande tradition, écrit avec du verre, poli à l’acide, sans ajout de complément inutile ?
MARIANNE
La quintessence du noir dans la plus magnifique tradition américaine.
PIERRE LEMAITRE
Une écriture brute, injectée d'humour noir et d'une larme de mélancolie.
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