Le journal Libération donne la parole à Tiffany McDaniel, et le pinceau à l'illustratrice Anne Montel (ed. Little Urban) à l'occasion du Salon du Livre et de la Presse Jeunesse.
Ça y est, le salon du livre et de la presse jeunesse est là ! Cette année encore, Libération se pare des couleurs de la littérature jeunesse et donne la parole aux artistes et auteurs qui font rêver les petits (et grands) lecteurs.
Tiffany McDaniel, autrice des Gardiens de baguette magique et de Betty, a sorti sa plume pour nous parler de son attachement pour la fantasy, la littérature jeunesse, les contes et les mythes qui peuplent son œuvre. Pour illustrer cet article, elle s'associe à Anne Montel, à l'univers tout aussi foisonnant.
Écrire de la fantasy fait appel à l'imaginaire de notre enfance
"À mes yeux, les livres jeunesse sont ce qu’il y a de plus réjouissant en littérature : ils élargissent nos perspectives, nourrissent notre empathie, ravivent notre capacité d’émerveillement. Et, bien souvent, ils nous rappellent comme il est bon de rire – et c’est un sentiment fantastique !
Ces livres sont très importants parce qu’ils viennent à notre rencontre deux fois dans nos vies. D’abord, pendant l’enfance, quand on croit que les géants et les lapins de velours existent et que les grenouilles et les crapauds peuvent devenir les meilleurs amis du monde. Puis, une fois adultes, ils nous rappellent qui nous avons été et tout ce qui nous a fait rêver.
Un véritable cadeau intemporel. On est peut-être devenu trop grand pour les chaussures qu’on portait à 6 ans, pour la chemise de nos 8 ans, pour la veste de nos 11 ans, mais une fois devenu trop grand pour tous les vêtements de notre enfance, on aura tout de même toujours une place au chaud entre les pages des livres qui nous ont marqués."
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